La partie de foot du Petit Nicolas
NOUVELLE – Le quatrième épisode du petit Nicolas, le héros de Sempé et René Goscinny, se déroule sur un terrain vague où il est question de foot.
Read MoreNOUVELLE – Le quatrième épisode du petit Nicolas, le héros de Sempé et René Goscinny, se déroule sur un terrain vague où il est question de foot.
Read MoreTEXTE – L’écrivain italien Pier Paolo Pasolini (1922-1975) était un passionné de football. En 1971, il rédige un texte expliquant ce qu’est le langage de son sport favori.
Read MoreTEXTE – “L’Angoisse du gardien de but au moment du penalty” (1970) est l’un des premiers romans de l’Autrichien Peter Handke. Il fut porté à l’écran par le cinéaste allemand Wim Wenders. Le titre évoque le foot, le livre un peu aussi.
Read MoreTEXTE – Tous les Italiens n’aiment pas le foot. L’écrivain Umberto Eco, par exemple, fuit toutes les discussions liées au Calcio.
Read MoreTEXTE – L’avis d’un citoyen brésilien sur le football est incontournable. Celui de Paulo Coelho, écrivain moraliste, auteur du best-seller “L’Alchimiste“, l’est d’autant plus que celui-ci avoue préférer Dunga à Socrates.
Read MoreTEXTE – Si Françoise Giroud, écrivain, journaliste et femme politique, a aimé le foot, c’est grâce à Johan Cruijff et ses coéquipiers vêtus de orange.
Read MoreTEXTE – Si Frédéric Dard a toujours préféré le cyclisme, le football ne le laisse pas indifférent. Et c’est avec délectation qu’il entraîna, en 1960, le commissaire San Antonio et son fidèle Bérurier dans les milieux parfois obscurs de la balle ronde.
Read MoreTEXTE – “… et les obligations des hommes, c’est au football que je le dois”. Cette citation d’Albert Camus (1913-1960) est entrée dans le panthéon du foot, bien que celui-ci en ait reconnu plusieurs versions.
Read MoreTEXTE – Pierre Desproges, comique dégagé, a rarement manqué l’occasion de donner son avis sur le football. Notion de groupe, symbole de masculinité et d’avilissement populaire, le ballon rond ne manquait il est vrai pas d’arguments pour agacer notre homme.
Read MoreLECTURES – Le coup de boule de Zinedine Zidane, le 9 juillet 2006 en finale de la Coupe du Monde, sur la poitrine de l’Italien Marco Materazzi, a inspiré de nombreuses réactions littéraires, dont un bref roman de Jean-Philippe Toussaint, “La mélancolie de Zidane” (Editions de Minuit).
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